Autrefois, être un homme était synonyme d´être un homme viril. D´être grand, large et fort. De se battre pour conquérir, protéger et survivre.
Statut quo: Qu´est-ce que l´on recherche prioritairement chez un homme?
Est-ce sa virilité appréciée dans le passé?
Le sexe masculin d´aujourd´hui peut avoir un physique bien moins imposant. Ce qui compte est ce qu´il a dans la tête! Il doit être malin, penseur non pas dans un sens philosophique, mais dans le sens de la théorie de l´évolution darwinienne. Il faut que le sexe masculin soit capable de s´adapter à tout évènement. Bien sûr, c´est une qualité requise que d´être un être intelligent. Cependant, cette volonté ou ce désir d´ancien idéal masculin persiste. Dans un premier temps, lorsqu´une femme voit un homme, c´est son physique qu´elle prend en considération. Sauf dans le cas où ils commenceraient à parler à table, de manière à ce qu´elle n´ait pu voir son physique entièrement. Dans ce cas-ci, la manière de penser joue un rôle déterminant.
De nos jours, cela étant dit, le physique d´un homme n´est plus l´outil servant à mener une action contre autrui. C´est la psychique qui détermine sa survie dans le monde.
Un homme ayant l´apparence d´une brute sans rien dans sa boîte crânienne ne permet pas grand chose à part ce à quoi les sociétés occidentales, principalement, s´opposent. La violence, l´affront, le combat, la volonté de s´affirmer en tant qu´être viril n´est plus une qualité communément admise.
Or, il y a toujours un nombre restreint d´esprits qui préfèrent la corpulence à l´intelligence...
On doute peu du fait qu´un homme intelligent ait plus de chance de survivre qu´un homme robuste sans capacités cognitives élevées....
Frédéric de Voltaire
Sonntag, 24. Juni 2012
Donnerstag, 21. Juni 2012
Une autre manière de penser pour trouver réponse à la question existentielle de l´Homme
Lorsqu´une personne a des difficultés de compréhension et si elle n´est pas apte à changer de niveau (pour ainsi dire: d´être suffisamment flexible, en vue de se positionner de manière à comprendre l´objet d´étude) parce qu´elle fonctionne selon un autre processus que ceux que l´on a l´habitude d´observer, alors c´est à l´assistant de trouver une façon de rendre compréhensible l´objet d´étude. Ainsi, ce n´est pas le patient qui se doit d´être changé, mais c´est le chemin menant à la compréhension de l´objet d´étude qui doit lui être rendu compréhensible.
Chaque être humain dispose d´un système mental lui permettant d´appréhender le monde dans lequel il vit. Chaque être humain a une manière de fonctionner. Habituellement, chaque être humain est flexible - peu importe son degré. C´est ce qui lui permet de vivre et de survivre dans le temps. Car sans flexibilité, il ne lui serait pas possible de s´adapter à toute situation- notamment nouvelle. Or, lorsque pour quelque raison que ce soit, un être humain ne dispose pas de cette faculté (flexibilité), alors il est statique. Cela ne lui permet que difficilement d´appréhender son environnement. Le recours à l´aide doit lui permettre de retrouver cette stabilité. Si cette dernière ne vient pas de lui vers l´objet, alors le lien doit venir de l´objet à lui. En ce sens, même avec un système mental différent, une fois qu´il a appris à utiliser sa manière de pensée, il peut agir comme tout être que l´on tend à qualifier de normal. Normal dans le sens de "en moyenne".
Laissons chacun s´exprimer comme il lui a été donné la possibilité de le faire. Ne soyons pas impatients au point de mettre de côté ceux qui sont différents. Apprenons leur plutôt à faire l´usage de leur capacités intellectuelles se différenciant de celles reconnues. Cela pourrait nous avancer sur bien des thèmes, que d´avoir des gens ayant d´autres approches.
Frédéric de Voltaire
Chaque être humain dispose d´un système mental lui permettant d´appréhender le monde dans lequel il vit. Chaque être humain a une manière de fonctionner. Habituellement, chaque être humain est flexible - peu importe son degré. C´est ce qui lui permet de vivre et de survivre dans le temps. Car sans flexibilité, il ne lui serait pas possible de s´adapter à toute situation- notamment nouvelle. Or, lorsque pour quelque raison que ce soit, un être humain ne dispose pas de cette faculté (flexibilité), alors il est statique. Cela ne lui permet que difficilement d´appréhender son environnement. Le recours à l´aide doit lui permettre de retrouver cette stabilité. Si cette dernière ne vient pas de lui vers l´objet, alors le lien doit venir de l´objet à lui. En ce sens, même avec un système mental différent, une fois qu´il a appris à utiliser sa manière de pensée, il peut agir comme tout être que l´on tend à qualifier de normal. Normal dans le sens de "en moyenne".
Laissons chacun s´exprimer comme il lui a été donné la possibilité de le faire. Ne soyons pas impatients au point de mettre de côté ceux qui sont différents. Apprenons leur plutôt à faire l´usage de leur capacités intellectuelles se différenciant de celles reconnues. Cela pourrait nous avancer sur bien des thèmes, que d´avoir des gens ayant d´autres approches.
Frédéric de Voltaire
Sonntag, 10. Juni 2012
L´être humain confronté à ses préférences au détriment d´autrui
L´être humain serait-il victime de sa propre nature?
Préférant suivre ses préférences, afin de réaliser ses rêves, même en vendant du rêve aux autres se fondant sur le néant d´un point de vue matérialiste, il complexifie ses actions. Parce qu´il préfère se sauver lui-même que sauver tout le monde. Parce qu´il cherche à être supérieur aux autres. Dans la nature de l´espèce humaine, l´homme veut s´imposer à son environnement. Alternant entre différentes stratégies, il s´y adapte ou tente de le dompter. Parfois, il échoue. Mais il continue dans cette lignée. Parfois, il y arrive et continue sans pourtant jamais arriver à son but. Si l´intelligence lui permet de faire croire aux autres que les rêves qu´il propose ont une valeur supérieure à le leur, alors il arrive a les devancer. Le monde, dans lequel nous vivons est le fruit des rêves de certains qui réussissent à s´imposer à la majorité. Nous vivons et perdons grâce à ses rêves. Peu importe qu´ils soient réels ou immatériels.
Pourquoi un ingénieur financier devrait être payé 100 à 200 fois plus qu´un ingénieur des ponts?
Le premier construit du rêve alors que le second construit du concret, utilisable par tous.
Tout observer d´un oeil curieux et établir des rêves intelligibles profitant à tous - même si étant profitable à soi-même dans un premier temps, mais s´étendant aux autres dans un second temps.
Frédéric de Voltaire
Préférant suivre ses préférences, afin de réaliser ses rêves, même en vendant du rêve aux autres se fondant sur le néant d´un point de vue matérialiste, il complexifie ses actions. Parce qu´il préfère se sauver lui-même que sauver tout le monde. Parce qu´il cherche à être supérieur aux autres. Dans la nature de l´espèce humaine, l´homme veut s´imposer à son environnement. Alternant entre différentes stratégies, il s´y adapte ou tente de le dompter. Parfois, il échoue. Mais il continue dans cette lignée. Parfois, il y arrive et continue sans pourtant jamais arriver à son but. Si l´intelligence lui permet de faire croire aux autres que les rêves qu´il propose ont une valeur supérieure à le leur, alors il arrive a les devancer. Le monde, dans lequel nous vivons est le fruit des rêves de certains qui réussissent à s´imposer à la majorité. Nous vivons et perdons grâce à ses rêves. Peu importe qu´ils soient réels ou immatériels.
Pourquoi un ingénieur financier devrait être payé 100 à 200 fois plus qu´un ingénieur des ponts?
Le premier construit du rêve alors que le second construit du concret, utilisable par tous.
Tout observer d´un oeil curieux et établir des rêves intelligibles profitant à tous - même si étant profitable à soi-même dans un premier temps, mais s´étendant aux autres dans un second temps.
Frédéric de Voltaire
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